Le mariage
Informations diverses
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Paroles
C’était par un dimanche,
Et non par un lundi, et non par un lundi,
Que j’ouvre la fenêtre,
Du pied de mon lit,
Ton, ton, ton p'tit cœur mignonne,
Ton p'tit cœur joli.
Que j’ouvre ma fenêtre du pied de mon lit
J’entends le rossignol, qui par son chant nous dit
Les filles qui se marient ne sont pas sans souci.
Le joure de leurs noces, mettent leurs beaux habits.
Le lendemain des noces, un bouquet de souci
Et le troisième jour, tout est déjà fini.
Adieu père et mère, parents et amis
Me voici en ménage avec mon cher mari.
Ce n’est point pour un an, ni une année et demie
C’est pour toute ma vie et la sienne aussi.
Références
Collecté à Matignon (Côtes-d'Armor) et rapporté par Paul Sébillot dans Littérature orale de Haute-Bretagne en 1881, page 282 (Lire en ligne). Édouard Moullé en rapporte quelques couplets en page 30 des Cinquante chants populaires recueillis dans la Haute-Normandie en 1890. (Lire en ligne).
Coirault : 05407 La mariée qui regrette le logis de son père